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tumblr is hiding all my new erotic drawings, even if no genitals or nipples are visible.

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See you on the other side…

I’ve followed Apollonia’s work for years. It’s erotic, yes, but it’s also surreal and amazing and I love her trippiest pieces the most. Every one is a panel in the middle of a story that’s left for the viewer to fill out.

Tumblr sucks for this kind of art these days, but I can’t recommend her work highly enough. Check out the links for more.

Les illustrations érotiques d’Apollonia Saintclair

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Une femme fait du shopping dépourvue de culotte, place Vendôme. Deux filles se caressent en étendant le linge, le jour de lessive. Sept filles se font plaisir, se pâment en extase sous leurs caresses. Une autre s’essaye à la soumission.

Depuis trois ou quatre années maintenant, Apollonia Saintclair poste, quasi quotidiennement, des illustrations sur Instagram, Tumblr et Twitter. Ce sont des vignettes érotiques, dont les hommes sont les grands absents, et que l’on reçoit à la façon d’une carte postale matinale. Elles nous rappellent au désir, dès l’aube, par leur façon subite de mettre en scène les mouvements les plus violents en nous.

Aux frontières de l’intime et du scandaleux

Pourtant, ce sont des images d’une grande douceur de trait (ce trait qui rappellera celui de Manara, de Moebius ou de Guido Crepax). En légende, il y a toujours ces titres, mystérieux, doux : d’abord en français, suivis d’une parenthèse en anglais qui n’est pas forcément sa traduction littérale, plutôt son commentaire poétique.

Ce va-et-vient dessine encore un jeu supplémentaire entre l’intime et le scandaleux, entre le désir d’en rire et celui de se choquer soi-même. Apollonia Saintclair, il semblerait, vit en Suisse. Elle (si tant est qu’elle soit une fille) répond aux e-mails avec beaucoup de timidité, rougit quand on lui fait des compliments (elle dit “des fleurs”) mais préfère, plutôt que de devenir célèbre, préserver son intimité. Apollonia Saintclair n’existe pas. (…)

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